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4 message(s)
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Voici une petite histoire sans paroles, âmes sensibles, passez vite votre chemin sans vous retourner.
Tout ce qu'on voit dans ce récit en images (cruelles) est strictement vrai ; aussi, nous déconseillons absolument à quiconque de faire comme nous. Enfin, si vous en avez eu le courage, vous aurez découvert en fin de récit que ça marche. Bonne année ! 1 
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8  Nikon D700 et Super-Elmar 15mm9  Nikon D700 et Super-Elmar 15mm, détail
Tout est photographié au D700 et 1,4/50 Ai ou 1,8/85 F, sauf bien entendu la photo où l'on voit le susdit avec son Super-Elmar prêt à faire sa première photo numérique (Leica M8 et 1,4/50). |
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 piratilux.net |
J'ai mal pour ce pauvre Super-Elmar-R  Beau boulot  |
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Bravo, félicitations.
Mais, comment avez-vous fait pour estimer qu'il suffisait de limer, en pente, le tube de protection* de la lentille arrière pour permettre le relevage du miroir ? Je suppose que c'est par comparaison avec une autre optique dite "compatible"? *Il est à noter, que toutes les lentilles arrières des objectifs R sont protégées de manière à permettre la pose sur une surface plane, sans bouchon. Rien ne peut être pensé sans son contraire. Héraclite |
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Dans le désordre… 
2. La lentille arrière est toujours protégée, malgré cette intervention. 1. J'ai mesuré la distance entre le bord du miroir pendant sa remontée et le plan de la baïonnette du boîtier, puis la distance entre le plan de baïonnette de l'optique et la partie arrière. Comme il est difficile d'évaluer les positions relatives exactes, je savais que je devrais limer et m'y étais préparé, mais ne savais pas sur quelle épaisseur. Il a fallu progresser point par point et repérer chaque fois où ça ne passait pas. Je savais toutefois avec certitude, avant de commencer, que le miroir ne toucherait jamais la lentille arrière. |
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