(C'est assez angoissant de ne pas savoir à quoi ma remarque s'applique.)
Je n'ai pas regardé la page précédente parce que, à priori, je n'éprouve pas un gros intérêt pour les lampadaires (bien que la problématique de l'allumeur de réverbères m'avait, au temps bien heureux de la lecture du Petit Prince, plongée dans une profonde angoisse métaphysique quant au sens de l'existence et à la nécessité de prendre son destin en main) mais je ressens quand même le besoin impérieux, en cette soirée délicieusement pluvieuse où il est si agréable de "cocooner" chez soi alors que le chat roupille (toujours) sous la couette depuis ce matin (mais, le pauvre, s'est couché bien tard cette nuit) et que France Culture diffuse en sourdine la douce caresse sonore d'une conversation en sourdine, donc inaudible mais donnant l'impression d'être entourée de quelques personnes agréables auxquelles on se joindra, peut-être, tout à l'heure, de vous faire savoir que, quitte à paraitre un peu superficielle, voir même assez chiante parfois (si, si!), je trouve aussi que, comme orville nous le confesse d'une affirmation un peu laconique à premier abord mais cependant parfaitement résumée, ces couleurs sont vraiment très belles
Content de relire la charmante écriture de Solange Michel, elle vient de le dire, elle était chez " Le Petit Pince " Je vais d'ailleurs me le relire...