L’œil Urbain Michael Ackerman Richard Pak Steeve Iuncker Michel Séméniako Bogdan Konopka Cyrus Cornut Stéphane Gautier Olivier Corsan Philippe Blayo Laurent Nicourt William Gonnet |
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Marcel Bovis 6x6 Le Pont transbordeur au Fort Saint-Jean, Marseille, 1945 © Ministère de la Culture - Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, Dist. RMN-Grand Palais / Marcel Bovis « Formé à l’Ecole Nationale des Arts décoratifs de Nice, Marcel Bovis (1904-1997) devient décorateur aux ateliers d'art des Galeries Lafayette. Mais cet homme de l’art se montre surtout homme des arts, autodidacte passionné, dessinateur qui joue de l’accordéon, peintre qui maîtrise la gravure. En 1933, il publie ses premières images dans Scandale et illustre Les Suicidés, un roman-feuilleton de Georges Simenon. En août 1936, il rencontre André Lejard, rédacteur de Arts et Métiers Graphiques, et entame une longue collaboration avec cette revue. Après la guerre, il bénéficie de missions photographiques d’importance pour le Commissariat général au tourisme ou l’administration des Monuments Historiques et fonde le Groupe des XV en compagnie de René-Jacques, Daniel Masclet ou encore Willy Ronis. L’association tente alors de faire reconnaître l’art et le statut du photographe, défendant les valeurs et les droits de la profession. Marcel Bovis organise en 1947 la première rétrospective consacrée à l’oeuvre de l’américaine Berenice Abbott et rédige la même année La Photographie de paysage et d’architecture. Il publie désormais de nombreux articles pour différents magazines comme Photo-Revue ou Photographie nouvelle. Sa carrière professionnelle terminée, Marcel Bovis l’historien signe les chapitres techniques d’ouvrages comme 150 ans de photographie française en 1979, Histoire de la photographie en 1986 ou Les appareils photographiques français en 1993. ». (Michaël Houlette et Matthieu Rivallin, commissaires de l'exposition) Ouverture : mercredi à vendredi de 13h30 à 18h30 samedi et dimanche de 13h30 à 19h |
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Variations sur le thème de la main par vingt photographes Anita ANDRZEJEWSKA Kristoffer ALBRECHT Takashi ARAI Gregor BELTZIG Bernard DESCAMPS Éric DESSERT Debbie FLEMING CAFFERY Lucien HERVÉ Christien JASPARS Arno Rafael MINKKINEN Sarah MOON Françoise NUNEZ Max PAM Bernard PLOSSU Patrick TABERNA Marc RIBOUD Pentti SAMMALLAHTI Michel VANDEN EECKHOUDT Masao YAMAMOTO |
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Mark Lewis Above and Below Above and Below the Minhocao, 2014 © Mark Lewis "Il pourrait être utile de penser la photographie comme un espace profond et étroit entre le roman et le film." LEWIS BALTZ L’œuvre de cet artiste canadien (né en 1958) fait dialoguer cinéma, photographie et peinture. (Le Bal) « "Above and Below" renvoie au titre d’une œuvre de Mark Lewis réalisée à Sao Paulo en 2014 : Above and Below the Minhocão. Le film montre le Minhocão, autoroute surélevée qui traverse la métropole, fermée à la circulation automobile le soir et le week-end quand promeneurs et cyclistes viennent s’adonner à différents loisirs ou se ressourcer. Le Minhocão a quelque chose du monument moderniste. Construit en 1970, il représente à l’époque le plus important projet d’infrastructure routière d’Amérique du Sud, avec 3,5 kilomètres de long. L’étalement urbain, l’intensité du trafic (80 000 véhicules par jour traversent le Minhocão), la pollution de l’air, le bruit, autant de facteurs contribuant à faire de cette excroissance matérielle de la modernité non pas un monument à la gloire de cette dernière, mais un symbole de sa « chute », soulignant le revers de la médaille des visées de progrès, de vitesse, de gestion des flux et également de croissance. Above and Below représente donc aussi ce qui dans le réel se confronte aux rêves d’autrefois. » (Extraits du texte « Above and Below », de Chantal Pontbriand, tirés du livre Mark Lewis, Above and Below, publié par LE BAL à l'occasion de l'exposition.) |
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« Après New York, Rome et Moscou, le photographe américain découvre le Japon en 1961. Un travail renversant qui confirme la démarche de Klein de réaliser des “photo-journaux”, au carrefour entre le document historique et le carnet intime. Guidé par un groupe de représentants officiels dans la mégalopole nippone, il passe outre les interdits et réalise des clichés à la limite de l’impertinence : il photographie une geisha dans ses appartements, assiste à une opération de débridage des yeux, capte l’effervescence de la Bourse de Tokyo et réalise un portrait en gros plan du couple impérial. Puis, il échappe à l’attention de son cortège pour s’enfoncer dans une ville en plein bouleversement, à la veille des Jeux olympiques de 1964 qui vont faire entrer la capitale japonaise dans l’ère moderne. » (extrait de la présentation sur le site de polkagalerie) avec la précieuse collaboration de Picto, Circad et Plasticollage |
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« J’ai débarqué pour la première fois à Tokyo au printemps 2006. Mon amie Sara y avait trouvé un emploi et j’ai choisi de l’accompagner à la rencontre de la ville où elle avait grandi – un univers entièrement nouveau pour moi, dont je ne savais presque rien et où rien ne m’attirait particulièrement [...]. Les photos de cette série représentent ce que j’y ai vu et ceux que j’y ai côtoyés au fil des dix-huit mois suivants. Les personnes singulières que j’y ai connues m’ont, je crois, permis de mieux saisir ce que signifie faire partie du Tokyo d’aujourd’hui. Certains sont devenus des amis ; avec d’autres je n’ai fait que partager un bref instant. Mes photos sont nées au gré de ces rencontres fortuites, sans autre guide que ma curiosité, mon humeur du jour et mon sen- timent de la ville à mesure que je la découvrais. Autant que possible, j’ai travaillé à l’instinct. Prendre des photos a quelque chose d’un jeu improvisé. Il me semble que plus une photo est spontanée et irréfléchie, plus elle devient vivante, et plus elle passe de l’ordre du montrer à celui de l’exister. » Jacob Aue Sobol (texte présenté sur le site de polkagalerie) |
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« Toute mon enfance, j’ai entendu ma mère parler de nos origines italiennes, j’entendais les noms de tante Dina et de Nana, mon arrière grand-mère. […] Je vais partout, dès que possible, des montagnes du Piémont par tous les temps, au sud, au centre classique, de Cuneo à Bari, de Turin à Palerme, de Bologne à Cagliari et de Pitigliano à Alicudi ! Tout m’attire, et je photographie partout, à pied, en auto, en train, les paysages, les gens, les ambiances, l’architecture, le présent, le passé, le futur, la poésie… Et ce en toute saison, aimant tellement ce qu’on appelle à tort le mauvais temps (je dis toujours que le mauvais temps est le beau temps d’un photographe !), de jour et de nuit, dans la lumière de midi éclatante ou dans la non-lumière, quand les choses s’effacent, tard. Je n’utilise que mes vieux Nikkormats, appareils qui ont la moitié de mon âge, avec seulement un objectif de 50mm dessus, le plus classique, pour ne pas déformer le réel, comme la camera à l’épaule du cinéma Nouvelle Vague… Je suis hanté par Carlo Carra, Campigli, Morandi, et aussi Véronèse, Giotto, Piero della Francesca, par Carlo Emilio Gadda, Rosetta Loy, Giuseppe Bonaviri, Andrea Camilleri, par les souvenirs des films que je voyais dans les années 1960, comme les dernières minutes de L’Éclipse, ou La Nuit d’Antonioni, ou tous les Dino Risi, et La Strada, la liste est sans fin. […] En fait, Kazantzakis disait dans La lettre au Greco : “L’Italie a pris possession de mon âme, mon âme a pris possession de l’Italie” : je me sens pareil ! C’est comme ça, je m’y sens bien… ». (Extraits d'un texte de Bernard Plossu publié sur le site de la MEP) |
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Florence Henri Miroir des avant-gardes, 1927-1940 Composition 1928 Florence Henri Épreuve gélatino-argentique d’époque, 27,2 x 37,5 cm. Bauhaus Archiv, Berlin. Florence Henri © Galleria Martini & Ronchetti. Photo © Bauhaus Archiv « Florence Henri (New York, 1893-Compiègne, 1982), artiste protéiforme, est d’abord connue pour sa peinture, avant de se faire une place incontestable dans le domaine de la photographie des avant-gardes entre la fin des années 1920 et le début des années 1940. Après avoir vécu en Silésie, à Munich, Vienne, Rome et surtout Berlin, elle se fixe définitivement à Paris au milieu des années 1920, où elle se consacre pleinement à la photographie. Ce médium lui permet d’expérimenter de nouvelles relations à l’espace, notamment par l’introduction de miroirs et autres objets dans ses compositions. Le Jeu de Paume présente un vaste panorama de la production photographique de Florence Henri, développée entre 1927 et 1940, qui comprend aussi bien ses autoportraits, compositions abstraites, portraits d’artistes, nus, photomontages, photocollages, que des photographies documentaires prises à Rome, à Paris et en Bretagne. L’exposition est constituée principalement de tirages d’époque ainsi que de quelques documents et publications. ». (Extrait de la présentation sur le site du Jeu de Paume) Commissaire : Cristina Zelich, commissaire indépendante Exposition réalisée par le Jeu de Paume, avec l'aimable collaboration des Archives Florence Henri, Gênes. |
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Roman Vishniac De Berlin à New York, 1920-1975 Hall de gare, Anhalter Bahnhof, près de Potsdamer Platz Berlin, 1929 – début des années 1930 © Mara Vishniac Kohn, courtesy International Center of Photography « Plus qu’aucun autre photographe, Roman Vishniac a profondément influencé notre vision de la vie juive en Europe orientale. On lui doit le recensement photographique le plus emblématique de ce monde à la veille de son anéantissement – un ensemble exposé au Mahj en 2006 sous le titre “Un monde disparu”. Pourtant, seule une faible partie de son œuvre a été montré ou publié de son vivant. Surtout connu pour ce poignant témoignage, Vishniac fut également un photographe inventif, aux multiples talents. L’exposition donne à voir un choix de travaux d’une extrême diversité, grâce aux recherches de Maya Benton dans le vaste fonds des archives Roman Vishniac conservées à l’International Center of Photography. “Roman Vishniac. De Berlin à New York, 1920-1975” replace ses photographies iconiques du judaïsme est-européen au sein d’un mouvement plus large, celui de la photographie documentaire humaniste des années 1930. » (extrait de la présentation du musée) Voir cet avis publié sur sbooi.fr |
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« Plusieurs livres de photographies réalisées en France figurent déjà dans les “classiques” de Kenna : “Le désert de Retz”, “Le Notre’s gardens”, “Et la dentelle”, “Mont-Saint-Michel”, mais d’autres sujets étaient restés inédits. Il a notamment photographié les îles Chausey à l’invitation du conservatoire du littoral, le village de Bargème, les rivages de Picardie et de Bretagne, le château Lafite Rothschild... Cette exposition est l’occasion de montrer un choix de photographies récentes et anciennes et de constater à quel point l’oeuvre de Kenna est cohérente et homogène. Non qu’elle soit restée figée : on constatera au contraire une évolution dans la forme (dont le passage du 35mm au moyen format carré est la plus visible), mais une constance du regard et une fidélité à la remarquable qualité du tirage argentique, toujours dans un format intime, afin d’en préserver toutes les qualités et la finesse. » (présentation de la galerie) fermeture annuelle du 24 décembre au 5 janvier |
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sometimeStudio - 26, rue Saint-Claude - 75003 Paris Voir le site de Arnaud Baumann |
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L'exposition présente les photographies de Paris dont Michael Kenna a fait don au musée. |
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L'exposition présente une partie des photographies réunies pour l'exposition du 11 novembre 1944 sur la Libération, complétée par des témoignages et une réflexion sur la fabrique de l'image en temps de guerre. |
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L'exposition présente en particulier "les aveugles", "Jean-Louis", "femmes en prison", et "rue des Lombards". Exposition présentée avec le soutien de la Ville de Lannion, du Conseil Général des Côtes d’Armor, du Conseil Régional de Bretagne et de la Drac Bretagne. |
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« Depuis le début des années 70, Arno Rafael Minkkinen construit une œuvre photographique dont il est le principal sujet : son corps nu (ou plus souvent une partie de son corps) vient prendre place dans le paysage pour réaliser avec lui une composition étrange, une fusion inattendue ». Le vernissage dans le cadre du Mois de la photo à Paris aura lieu en présence d'Arno Rafael Minkkinen le samedi 15 novembre de 16h à 19h |
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« Réalisée à partir de tirages et de négatifs glanés sur les marchés aux puces, l'exposition se compose d'une centaine d'épreuves originales et d'une soixantaine d’agrandissements numériques qui reprennent le matériau et prolongent la curiosité du livre Photo trouvée. Photographies d’amateurs rassemblées par Michel Frizot et Cédric de Veigy (Phaidon, 2006) avec les deux auteurs comme commissaires. Présenter une sélection de ces photographies dans leur format originel permet de restituer la délicatesse de regard propre à des images qui étaient avant tout destinées à tenir dans la main, à se glisser dans un portefeuille, à apparaître dans l'écrin d'un album ou d'un cadre ». (Michel Frizot et Cédric de Veigy - extrait de la présentation sur le site de la maison Robert Doisneau) |
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Garry Winogrand rétrospective Albuquerque - Tirage gélatino-argentique - The Museum of Modern Art, New York, purchase © The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco Digital image : © The Museum of Modern Art, New York, Photo Scala, Florence « Chroniqueur célèbre de l’Amérique de l’après-guerre, Winogrand est encore mal connu, tant il a laissé de travail à accomplir — au moment de sa mort prématurée — dans l’archivage, le développement et le tirage de ses photographies. Il est cependant sans conteste l’un des maîtres de la photographie de rue américaine, au même titre qu’Evans, Frank, Friedlander ou Klein. Célèbre pour ses photographies de New York et de la vie aux États-Unis depuis les années 1950 jusqu’au début de la décennie 1980, Winogrand cherche à savoir « à quoi ressemblent les choses quand elles sont photographiées ». Organisée conjointement par le SFMOMA et la National Gallery of Art de Washington, l’exposition « Garry Winogrand » réunit les images les plus emblématiques de l’artiste et des tirages inédits puisés dans les archives, en grande partie inexplorées, de la fin de sa vie. Elle offre une vue d’ensemble rigoureuse de son parcours et, pour la première fois, embrasse la totalité de sa carrière. » (extraits de la présentation sur le site du Jeu de Paume) Commissaires Leo Rubinfien, Erin O’Toole et Sarah Greenough. L’exposition a été conçue et organisée par le commissaire invité Leo Rubinfien, photographe et auteur, en collaboration avec Erin O’Toole, conservateur associé de la photographie au SFMOMA, et Sarah Greenough, conservatrice de la photographie à la National Gallery of Art. Partenaires L'exposition « Garry Winogrand » est organisée par le San Francisco Museum of Modern Art et la National Gallery of Art à Washington |
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« Deux photographes qu’à première vue tout oppose sont réunis à la galerie Polka : Gilles Caron, célèbre photojournaliste dont la courte carrière (cinq ans) est aujourd’hui célébrée au Jeu de Paume de Tours. Alexander Gronsky, jeune photographe estonien, connu pour ses réflexions sur les effets de l’environnement sur les populations locales. Ces deux générations de photographes se retrouvent sur un même terrain, celui de la guerre. L’exposition « Act / ReenAct » soulève la difficile problématique de la place de la photographie de guerre dans le monde de l’art. Peut-on considérer des documents d’information comme des objets d’art ? Un photojournaliste est-il un artiste ? Et, à l’opposé, dans quelle mesure un artiste peut-il photographier la reconstitution d’une scène historique pour en dénoncer le propos ? En confrontant ces deux moyens d’expression, l’exposition « Act / ReenAct » explore la frontière entre reportage d’information et photographie d’art. » (extrait de la présentation sur le site de polkagalerie) |
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« Pascal Maitre se définit avant tout comme photojournaliste, reporter. Sa photographie fixe le monde, témoigne ; elle est son moyen d’expression pour raconter des histoires. Pour cette première exposition à la Maison Européenne de la Photographie, Pascal Maitre nous livre quelques unes de ces histoires, comme autant d’extraits de reportages de ses expéditions. Parmi les 40 pays d’Afrique qu’il a si souvent parcourus, 13 d’entre eux se retrouvent dans sa sélection pour la MEP : Somalie, Erythrée, Niger, RDC Congo, Rwanda, Sierra Leone, Cameroun, Mali, Tchad, Soudan, Burkina Faso, Sao Tomé et Madagascar. Des zones difficiles d’accès mais que Pascal Maitre parvient toujours à franchir. La ténacité d’un grand reporter. […] Sur l’Afrique, Pascal Maitre est l’un des seuls à couvrir tous les thèmes s’y rapportant. Ils sont imbriqués tels des strates qui révèlent toute la complexité d’une Afrique plurielle : la nature, les croyances -qui masquent le manque de protection-, l’aspect économique et le travail, les conflits et ses conséquences, mais également la vie nocturne. ». (Extrait de la présentation sur le site de la MEP) |
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Bernard Plossu / Marcelo Fuentes Villes et paysages Marcelo Fuentes. Queens, NY. Fusain sur papier, 31 x 48 cm Bernard Plossu. San Francisco, USA, 1974. Tirage argentique, 18 x 24 cm L'exposition rassemble des photographies de Bernard Plossu et des peintures et dessins de l'artiste espagnol Marcelo Fuentes Vernissage mercredi 10 septembre à 18h en présence des artistes |
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présente à Paris TOM ARNDT Man with a bow tie, 6th J Hennepin, Minneapolis, Minnesota, 1975 © Tom Arndt/Courtesy Les Douches La Galerie « Né à Minneapolis, Tom Arndt s’est attaché à photographier son Minnesota natal. S'inscrivant dans la grande tradition de la photographie documentaire américaine, il nous livre un album de famille : ses habitants, ses rues, ses vitrines, ses comptoirs de café, ses parcs, ses grands évènements populaires, avec une très grande empathie et une grande dignité. Le misérabilisme n'y a pas sa place. Comme le souligne son ami et écrivain, Garrison Keillor, Tom Arndt photographie "l'ADN de la culture du Minnesota, c'est-à-dire les pauvres et les exclus". Très attaché à l'argentique, ses tirages sont d'une exceptionnelle beauté. Amoureux des papiers photographiques, il ne peut concevoir une journée sans passer plusieurs heures dans son laboratoire. Ses photographies sont présentes dans de nombreuses collections des musées américains. » (Extrait de la présentation de la galerie) |
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« L’exposition d’un photographe à Arles est une performance au sens où il s’agit de montrer son œuvre, de l’exposer avec justesse et de lui faire passer un cap inhabituel pour beaucoup, celui de la confrontation publique, de la simple visite d’exposition jusqu’aux 2000 spectateurs du théâtre antique en passant par les nombreux débats, les stages et les passionnants colloques montés par Françoise Docquiert. L’équipe de production des expositions, aujourd’hui Julie Héraut et Safia Belmenouar encadrées par Aurélie de Lanlay, prépare à distance et dans les moindres détails la venue à Arles de photographes de toutes origines. Seule consigne : au lever de rideau et malgré nos conditions foraines d’exposition, l’artiste, le commissaire ou le collectionneur doit être satisfait. Là encore, l’effet scène amplifie la perception que l’on a du bonheur ou de l’insatisfaction. Cela impose à l’équipe de se surpasser pour planifier une logistique complexe, les Rencontres produisant chaque année ce qu’une institution photo classique programme en cinq ou dix ans. » François Hébel, directeur des Rencontres d’Arles, extrait de la présentation sur le site des rencontres |
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présente à Paris VIVIAN MAIER en accompagnement de la sortie du film Finding Vivian Maier Untitled, March 31, 1957 © Vivian Maier / Maloof Collection, Courtesy Howard Greenberg Gallery, New York / Les Douches La Galerie, Paris En partenariat avec Happiness Distribution, distributeur du film Finding Vivian Maier, qui sort sur les écrans français le 2 juillet, la galerie présente une sélection d’une vingtaine de photographies de Vivian Maier. |
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« Après "Angeli" en 1993 et "Studio" en 2002, deux expositions qui ont marqué l'histoire de la galerie Camera Obscura, nous avons le plaisir d'annoncer "Secrets", notre nouvelle collaboration avec Paolo Roversi. Paolo est l'un des plus grands noms de la photographie de mode. Il a su apporter à cet art de l'apparence une touche très personnelle, faite d'intimité, en travaillant à la chambre 20 x 25 cm Deardorf, en bois, à soufflet (voile noir indispensable pour apercevoir l'image, fantomatique et inversée, sur le dépoli), comme un portraitiste du XIXème, mais au Polaroïd. » (présentation de la galerie) L'exposition "Secrets" comprend une trentaine de tirages et des polaroïds originaux. Les tirages sont essentiellement des tirages au platine-palladium réalisés à partir des polaroïds 20 x 25 cm. |
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Homer Sykes England 1970-1980 Margaret et Barry Kirkbride, couple d’adolescents à la mode, Workington, Cumbrie, 1975. © Homer Sykes « Le travail du photographe britannique Homer Sykes (né en 1949) demeure inédit en France. C'est au début des années 1970 que cet anglais d'origine canadienne devient photojournaliste. Illustrateur de magazines comme The Observer, The Telegraph, The Sunday Times ou Time, il part couvrir les conflits du Proche-Orient ou de l’Irlande du Nord. Mais Homer Sykes s'est aussi très rapidement intéressé à sa propre culture, aux coutumes et aux mœurs typiquement britanniques. ». (Extrait de la présentation sur le site de la maison Robert Doisneau) |
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