le Pirate Forum
    L'homme au travail ?

Vigie - Pirate !
essai :D
Chaque homme croit en quelque chose… moi je crois que je vais reprendre une bière !

  
Naromrok a posté cette photo sur un fil de la section sans photos… :shock2: et de plus, il l'a postée sans texte de présentation. Je la mets donc à sa place, et vous invite à la commenter. La vigueur virile du lieu, et les objets qui y sont disposés, laissent imaginer un poste de travail masculin. De pudiques créatures masquent leur sexe au moyen de leurs frêles et délicates mains, ou de clefs de mécanicien. On reconnait là un goût très sûr, mais spécifiquement masculin, me semble-t-il. Qu'en pensez-vous ? Est-ce un dopant dans le but d'augmenter la productivité de l'homme au travail ?
Kimadministration
  • Message par nel, vendredi 27 avril 2007 à 8h38
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C'est scandaleux, une fois de plus l'image de la Femme est dévalorisée, la parité n'est pas respectée, il est donné plus de surface aux références masculines qu'aux références féminines, cette image nous parle de la mécanique des corps et des sentiments d'un point de vue purement techniciste et machiste.
On est en pleine pornographie, il n'est question ici que d'outillage, de pipes, de clés, de diamètre, d'interdiction, de manœuvres etc. et les victimes sont même désignées.

Si c'est comme ça je ne pourrai pas rester sur ce forum, les femmes y sont déjà minoritaires et en plus traitées de manière éhontée.
:mrgreen:

Cette photographie est emblèmatique de l'asservissement de l'homme par le tavail.
L'ordre des outils implique une servitude à une organisation et à une hiérachie n'ayant pour but que le productivisme et oubliant complètement l'épanouissement de la personne humaine.
La photographie de femmes dénudées (elles-mêmes victimes d'un système d'exploitation del 'être humain dans un but de profit) montre comment les masses laborieuses sont assommées par des dérivatifs. La pornographie comme élèment cherchant à empécher le développement d'une pensée autonome du travailleur. Ce qui lui permettrait une prise de conscience de leur situation de prolétaire. Cette prise de conscience étant le point de départ de toute action révolutionnaire.
Ibergekumene tsores iz gut tsu dertseylin
(C'est un plaisir de raconter les ennuis passés)
Proverbe yiddish

  
En gros, camarade, si j'ai bien compris, on envoie des prostituées réactionnaires aux travailleurs mâles pour contrer la révolution ?
Voilà donc pourquoi le féminisme fait si peur, car quoi envoyer aux travailleuses ?

coignet
En gros, camarade, si j'ai bien compris, on envoie des prostituées réactionnaires aux travailleurs mâles pour contrer la révolution ?
Voilà donc pourquoi le féminisme fait si peur, car quoi envoyer aux travailleuses ?


Exactement


:bla:
Ibergekumene tsores iz gut tsu dertseylin
(C'est un plaisir de raconter les ennuis passés)
Proverbe yiddish

  
coignet
Voilà donc pourquoi le féminisme fait si peur, car quoi envoyer aux travailleuses ?

On pourrait leur envoyer... Kim ? :roll:

coignet
En gros, camarade, si j'ai bien compris, on envoie des prostituées réactionnaires aux travailleurs mâles pour contrer la révolution ?
Voilà donc pourquoi le féminisme fait si peur, car quoi envoyer aux travailleuses ?


C'est égalemenet pourquoi la Corée du Nord est un Etat particulièrement prude comme on peut le constater dans ce magnifique ouvrage "Pyong-Yang" édité par l'Association.
On y découvre que d'après le grand leader il est immoral qu'une femme fasse du vélo. :shock2:
Ibergekumene tsores iz gut tsu dertseylin
(C'est un plaisir de raconter les ennuis passés)
Proverbe yiddish

  
Je préfère ne pas m'étendre sur la pratique du vélo entre deux personnes de sexe différent. Je serais alors rapidement contraint de me laisser aller à parler du trouble qui peut saisir à fournir un effort physique à deux ; à voir le corps de l'autre en tension, par exemple à l'occasion d'une pente à gravir dans une belle campagne accueillante ; ou tout simplement, à découvrir ses jambes tendues de part et d'autre du cadre, de la selle. Et si elle se met en danseuse … !
Ou dans un contexte plus urbain, je pourrais me laisser aller à évoquer les gestes dessinés par les jambes d'une femme en jupe, dont l'étoffe vole au vent.

Mais ceci nous éloigne du monde du travail.
  • Message par nel, vendredi 11 mai 2007 à 17h21
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Comme d'aucun le savent, ma maison est en chantier, ça n'en finit plus, je me désespère.
Les ouvriers font la journée continue, moi aussi, le soir je fais ma visite de chantier, seule, je ne peux que constater si ils sont venus ou pas.
Pour prendre mon mal en patience je me suis mis à photographier des natures mortes du chantier quand il est en pause/pose.
Je me sens un peu voyeuse, je profite de la disposition des choses, telles qu'ils les ont laissées en partant. Je ne touche rien, je photographie ce qui me plait et je repars.
5 images volées de mon chantier.










  
Merci pour ces images de chantier, tout à fait inhabituelles pour moi. Le chantier vu par celle qui le subit, sans ouvrier, juste les traces de l'activité arrêtée. J'aime le mur fraîchement décrouté et l'escabeau ; la brouette et ses outils de maçon (pelle, truelle et sceau, suivis du balai) est un résumé à elle seule.

  
Superbe, Nel ! J'aime ces photos toutes simples qui racontent la vie.

Il y a quelques années, j'ai également bénéficié d'un chantier chez moi. Je ne pouvais aller voir l'état d'avancement que le week end. A chaque fois, c'était la surprise, généralement agréable.
Les travaux devaient être finis pour le mois d'août.
Sur ces deux photos : l'état d'avancement à la mi-juillet (que des vues générales... j'étais débutante en photo. Aujourd'hui, j'essaierais de photographier autrement !)




2001 - Canon D30

Tout fut fini à temps. Depuis, cette maison est un lieu où je vis des moments heureux.

Vivement la fin de la journée semble de penser René




Une autre illustration du travail, correction du devoir commun d'histoire des troisièmes
Ibergekumene tsores iz gut tsu dertseylin
(C'est un plaisir de raconter les ennuis passés)
Proverbe yiddish

  
A force de squatter le Forum je vais finir par fatiguer :bla:


:cool:

Jean Jerome, proprio et pote d'un magasin d'instruments de musique en plein boum. C'est lui le patron quoi :)


    La pause du travailleur

  
En fin de service.



Leica M6, 2/50, Fuji Neopan 1600

  
La nuit, dans le métro berlinois, on change les affiches publicitaires :






M7 + summilux 50 + APX 100 in Rodinal

Super Marielle. Moi, j'ai repris le boulot après quatre mois d'arrêt dont trois semaines de congés. ça fait drôle et le premier jour j'étais tout sérieux et appliqué. Mes collegues commencent à se poser des questions mais deux jours plus tard j'ai sorti la tête par la porte de ma salle de controle avec devant mon oeil un Hasselblad xpan.
Et voila ce que je vois.....et mes potes sont rassures :D:


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